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Test de français Niveau A1
Résumé-Quiz
0 questions correctes sur 20
Questions:
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Information
Ce test est basé sur la compréhension de texte.
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- Examiner
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Question 1 sur 20
1. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 044 251 51 51
- 118
- 144
- 117
- 0900 300 300
- 024 475 75 11
- 0900 144 033
- 163
- 140
- 1415
-
Du service pour les intoxications
-
Question 2 sur 20
2. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 117
- 118
- 144
- 0900 300 300
- 024 475 75 11
- 044 251 51 51
- 0900 144 033
- 163
- 140
- 1415
-
De la police
-
Question 3 sur 20
3. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 118
- 144
- 117
- 0900 300 300
- 024 475 75 11
- 044 251 51 51
- 0900 144 033
- 163
- 140
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-
Des pompiers
-
Question 4 sur 20
4. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 0900 300 300
- 118
- 144
- 117
- 024 475 75 11
- 044 251 51 51
- 0900 144 033
- 163
- 140
- 1415
-
Des informations sur les trains
-
Question 5 sur 20
5. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 140
- 118
- 163
- 144
- 117
- 0900 300 300
- 024 475 75 11
- 044 251 51 51
- 0900 144 033
- 1415
-
Dépannage routier
-
Question 6 sur 20
6. Question
A) A partir du texte ci-dessous, glissez le bon numéro de téléphone.
Numéros pour urgences :
Incendies, accidents et urgences médicales 118 SMUR urgences médicales en agglomération 144 Police secours ou gendarmerie 117 CFF informations générales 0900 300 300 Service social local 024 475 75 11 Centre antipoison 044 251 51 51 Urgences médicales 0900 144 033 Etat des routes 163 TCS, pannes véhicules 140 Secours par hélicoptère 1415 Trier les éléments
- 1415
- 118
- 144
- 117
- 0900 300 300
- 024 475 75 11
- 044 251 51 51
- 0900 144 033
- 163
- 140
-
Air-Glaciers
-
Question 7 sur 20
7. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
Vous êtes allé/e plusieurs fois à Genève ?
-
Question 8 sur 20
8. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
Jane est votre amie ?
-
Question 9 sur 20
9. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
Jane est un membre de votre famille ?
-
Question 10 sur 20
10. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
Vous avez vu Jane voici 1 an ?
-
Question 11 sur 20
11. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
Vous n'êtes jamais allé/e à Genève ?
-
Question 12 sur 20
12. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
"Histoire" veut dire "pourquoi" ?
-
Question 13 sur 20
13. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
Une promesse est "un engagement" ?
-
Question 14 sur 20
14. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
PS: veut dire "Post Scriptum" ?
-
Question 15 sur 20
15. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
Vous devez répondre par téléphone ?
-
Question 16 sur 20
16. Question
B) Lisez la carte postale et répondez aux questions ci-dessous :
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
Une promesse est un souhait ?
-
Question 17 sur 20
17. Question
C) Répondez encore aux questions suivantes :
Où se trouve la chaise ?
-
Question 18 sur 20
18. Question
C) Répondez encore aux questions suivantes :
Où se trouve le lavabo ?
-
Question 19 sur 20
19. Question
C) Répondez encore aux questions suivantes :
Où est la porte ?
-
Question 20 sur 20
20. Question
C) Répondez encore aux questions suivantes :
Où sont les livres ?
Test de français Niveau A2
Résumé-Quiz
0 questions correctes sur 57
Questions:
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
- 12
- 13
- 14
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- 28
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- 41
- 42
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- 54
- 55
- 56
- 57
Information
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- 56
- 57
- Répondu
- Examiner
-
Question 1 sur 57
1. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
1. On peut utiliser ce produit pour se parfumer.
-
Question 2 sur 57
2. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
2. Il faut faire de courtes vaporisations.
-
Question 3 sur 57
3. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
3. Les enfants ne peuvent pas utiliser ce produit.
-
Question 4 sur 57
4. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
4. Ce produit existe en plusieurs parfums.
-
Question 5 sur 57
5. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
5. Ce produit est toxique.
-
Question 6 sur 57
6. Question
A) Senteurs d’intérieur
Informations
- Ce désodorisant rafraîchit et parfume agréablement votre maison.
Mode d’emploi
- Bien agiter avant l’emploi
- Vaporiser vers le haut pendant 2 à 3 secondes
Précautions
- Conserver hors de portée des enfants
- Conserver loin d’une source de chaleur
- Ne pas avaler
- Ne pas respirer les aérosols
- Utiliser uniquement dans les zones bien aérées
- Rincer immédiatement avec de l’eau en cas de projection sur la peau ou dans les yeux
A) Dites si les affirmations suivantes sont vraies ou fausses.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
6. Il faut protéger ses yeux lors de l'utilisation.
-
Question 7 sur 57
7. Question
B) Remettre les étapes de la recette dans le bon ordre (chiffres de 1 à 7)
-
d. En premier, battez les oeufs.
-
f. En deuxième, salez et poivrez les escalopes.
-
c. Passez-les dans la farine, puis dans l’œuf battu et enfin dans la chapelure.
-
g. Chauffez le beurre dans une grande poêle.
-
e. Quand il commence à grésiller, mettez-y les escalopes à feu doux pendant 12 minutes.
-
a. Servez avec des quartiers de citron.
-
b. Excellente dégustation !
-
-
Question 8 sur 57
8. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
1. A qui s’adresse ce service ?
-
Question 9 sur 57
9. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
2. Quel est le rôle des « ambassadeurs de l’accueil » ?
-
Question 10 sur 57
10. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
3. Les ambassadeurs de l'accueil travaillent toute l'année.
-
Question 11 sur 57
11. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
4. On peut les rencontrer dans des lieux touristiques parisiens.
-
Question 12 sur 57
12. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
Trier les éléments
- Vrai
- Faux
-
5. On peut les reconnaître grâce aux couleurs de leurs vêtements.
-
Question 13 sur 57
13. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
-
6. Ils ne parlent que le français et l'anglais.
-
Question 14 sur 57
14. Question
C) Lisez bien le texte ci-dessous. Ensuite, cochez la bonne réponse.
Des ambassadeurs et un guide estival pour mieux accueillir les touristes
Depuis 2001, les ambassadeurs de l’accueil se mettent, chaque été, au service des visiteurs français et étrangers. Cette année, du 12 juin au 28 août, ils seront là pour vous aider et vous conseiller 🙂
Où retrouver les Ambassadeurs de l’accueil ?
Vous les trouverez sur les sites les plus fréquentés de la ville : Bastille, Champs Elysées, Notre Dame, Hôtel de Ville, Aéroport Roissy & Charles de Gaule, Paris Plage, Place Colette et Pigalle.
Comment les reconnaître ?
Facilement reconnaissables grâce à leurs tee-shirts vert anis et les coupe-vent orange, les 44 saisonniers « ambassadeurs » parlent 15 langues à eux tous – et connaissent parfaitement la capitale.
Quand les rencontrer ?
Ils seront présents chaque jour de 10h00 à 19h00 pour distribuer guides et plans de la ville, suggérer des balades insolites ou traditionnelles. Ils vous offriront la brochure « j’aime l’été à Paris », éditée à 1 000 000 d’exemplaires et pourront faire découvrir à tous les visiteurs la richesse la programmation culturelles estivale.
Trier les éléments
- Faux
- Vrai
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7. Ils ne travaillent pas le week-end.
-
Question 15 sur 57
15. Question
D) Vous venez de recevoir ce message sur votre ordinateur. Répondez aux questions.
Votre commande
Bonjour, Votre commande est partie ce jour en colissimo suivi. Vous pouvez la suivre sur http://www.coliposte.net avec le No 26.ca.127. Nous vous rappelons que vous avez choisi le paiement après réception et que le montant de votre commande s’élève à Fr. 127.50. Nous vous remercions de votre confiance et espérons votre prochaine visite sur notre site
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Question 16 sur 57
16. Question
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Question 17 sur 57
17. Question
E) Conjuguez correctement au présent.
- 1. Parler : Il (parle, Parle)
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Question 18 sur 57
18. Question
E) Conjuguez correctement au présent.
- 2. Habiter : Tu (habites, Habites)
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Question 19 sur 57
19. Question
E) Conjuguez correctement au présent.
- 3. Faire : Vous (faites, Faites)
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Question 20 sur 57
20. Question
E) Conjuguez correctement au présent.
- 4. Apprendre : J' (apprends, Apprends)
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Question 21 sur 57
21. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 5. Répondre 3ème singulier (il répond, Il répond)
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Question 22 sur 57
22. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 6. Dire 2ème pluriel (vous dites, Vous dites)
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Question 23 sur 57
23. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 7. Acheter 1ère pluriel (nous achetons, Nous achetons)
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Question 24 sur 57
24. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 8. Mettre 2ème singulier (tu mets, Tu mets)
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Question 25 sur 57
25. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 9. Transmettre 3ème pluriel (ils transmettent, elles transmettent, Ils transmettent, Elles transmettent)
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Question 26 sur 57
26. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 10. Ecrire 3ème singulier (il écrit, elle écrit, Il écrit, Elle écrit)
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Question 27 sur 57
27. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 11. venir 3ème pluriel (ils viennent, elles viennent, Ils viennent, Elles viennent)
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Question 28 sur 57
28. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 1. Parler 3ème singulier (nous finissons, Nous finissons)
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Question 29 sur 57
29. Question
E) Conjuguez correctement au présent. N’oubliez pas le pronom de conjugaison (Ex. : je chante).
- 13. Vouloir 2ème singulier (tu veux, Tu veux)
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Question 30 sur 57
30. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 1. Le Conseil (de) l'Europe est (à) Bruxelles.
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Question 31 sur 57
31. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 2. La Scala est (à) Milan (en) Italie.
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Question 32 sur 57
32. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 3. Big Ben est (à) Londres (en) Angleterre.
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Question 33 sur 57
33. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 4. La Petite Sirène est (à) Copenhague (au) Danemark.
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Question 34 sur 57
34. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 5. La Statue de la Liberté est (à) New York (aux) Etats-Unis.
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Question 35 sur 57
35. Question
F) Localisation. Complétez les champs suivants avec les bonnes prépositions.
- 6. Les cigares se fabriquent (à) Havane (au) Cuba.
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Question 36 sur 57
36. Question
G) Mettez à la forme négative. Attention, respectez bien les majuscules et la ponctuation.
- 1. J'achète du sucre. (Je n'achète pas de sucre., Je n'achète plus de sucre., Je n'achète jamais de sucre.)
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Question 37 sur 57
37. Question
G) Mettez à la forme négative. Attention, respectez bien les majuscules et la ponctuation.
- 2. Je mange de la viande. (Je ne mange pas de viande., Je ne mange plus de viande., Je ne mange jamais de viande.)
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Question 38 sur 57
38. Question
G) Mettez à la forme négative. Attention, respectez bien les majuscules et la ponctuation.
- 3. Je cuisine des légumes. (Je ne cuisine pas de légumes., Je ne cuisine plus de légumes., Je ne cuisine jamais de légumes.)
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Question 39 sur 57
39. Question
G) Mettez à la forme négative. Attention, respectez bien les majuscules et la ponctuation.
- 4. Je bois de la bière. (Je ne bois pas de bière., Je ne bois plus de bière., Je ne bois jamais de bière.)
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Question 40 sur 57
40. Question
G) Mettez à la forme négative. Attention, respectez bien les majuscules et la ponctuation.
- 5. Je fume des cigarettes. (Je ne fume pas de cigarettes., Je ne fume plus de cigarettes., Je ne fume jamais de cigarettes.)
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Question 41 sur 57
41. Question
H) son/sont
- 1. De nombreux points brillants apparaissent dans le ciel : ce (sont) des étoiles.
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Question 42 sur 57
42. Question
H) son/sont
- 2. Les membres du club (sont) les seuls à comprendre ce code secret.
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Question 43 sur 57
43. Question
H) son/sont
- 3. Le chercheur consacre (son) temps à réaliser des expériences.
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Question 44 sur 57
44. Question
H) son/sont
- 4. (son, Son) regard était plein de surprise.
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Question 45 sur 57
45. Question
H) son/sont
- 5. Les tableaux (sont) faiblement éclairés.
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Question 46 sur 57
46. Question
I) On/ont
- 1. (On, on) croirait voir un être humain.
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Question 47 sur 57
47. Question
I) On/ont
- 2. Les pilotes (ont) des voitures rapides.
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Question 48 sur 57
48. Question
I) On/ont
- 3. Les vacanciers (ont) pris le soleil sur les blocs de rocher.
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Question 49 sur 57
49. Question
I) On/ont
- 4. Dans la plaine, (on) ne voyait plus qu'un voile de neige sans fin.
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Question 50 sur 57
50. Question
J) A/à
- 1. Elle n' (a) pas envie de dormir.
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Question 51 sur 57
51. Question
J) A/à
- 2. Elle regarde sa montre (à) chaque instant.
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Question 52 sur 57
52. Question
J) A/à
- 3. Le dessinateur passe des heures devant sa planche (à) dessin.
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Question 53 sur 57
53. Question
J) A/à
- 4. La concierge passe sa journée (à) la fenêtre.
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Question 54 sur 57
54. Question
J) A/à
- 5. (A, à, À) la mi-temps, les deux équipes sont (à) égalité.
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Question 55 sur 57
55. Question
K) Et/est
- 1. La route (est) très poussiéreuse (et) pleine de cailloux.
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Question 56 sur 57
56. Question
K) Et/est
- 2. Elle (est) sur la place du marché (et) elle mange une sucrerie.
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Question 57 sur 57
57. Question
K) Et/est
- 3. Elle boit du sirop (et) de la limonade.
Test de français Niveau B1
Résumé-Quiz
0 questions correctes sur 109
Questions:
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- Examiner
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Question 1 sur 109
1. Question
A) Lisez le texte et répondez aux questions en cochant la bonne réponse.
Un couvre-feu pour quoi faire ?
Dans plusieurs villes de France, les mineurs de moins de 13 ans n’ont plus le droit de sortir seuls tard le soir. On appelle ça le couvre-feu. Explications.
Les enfants et les adolescents de certains quartiers sont sous haute surveillance. A Orléans, Nice, Cannes et dans une dizaine d’autres communes, les maires ont pris la décision d’instaurer un couvre-feu pour les mineurs de moins de treize ans. Le but ? Interdire aux jeunes de certains quartiers de sortir entre minuit (parfois 22 heures) et 6 heures du matin s’ils ne sont pas accompagnés d’un adulte. En cas de non respect, les policiers peuvent les conduire au commissariat ou chez leurs parents, avec le risque d’une amende pour la famille. Ces dispositions, limitées dans le temps, devraient prendre fin au plus tard le 30 septembre. Les élus ont expliqué que ces mesures visent à protéger les jeunes des quartiers difficiles, livrés à eux-mêmes pendant les vacances scolaires et parfois poussés, par les plus grands, à commettre des délits *.(…) La nouvelle a fait grand bruit : cette affaire de couvre-feu cache en fait une angoisse plus profonde. Depuis quelques années, on enregistre une augmentation de la violence chez les jeunes. Les maires ont ainsi voulu montrer qu’ils les avaient à l’œil*. Et qu’ils prenaient en considération les peurs de leurs électeurs…
Sur le fond, tout le monde est d’accord. En effet, il n’est pas normal qu’un enfant ou un ado de moins de treize ans erre* en pleine nuit dans les rues. Le débat porte plutôt sur l’utilité d’une telle mesure. Les policiers font remarquer qu’ils n’ont pas attendu ces décisions pour se préoccuper des enfants qu’ils croisaient tard dans la nuit. Ils ont déjà l’obligation de les ramener chez eux. Par ailleurs, des éducateurs expliquent que ce n’est pas en poursuivant ces enfants que l’on réglera les problèmes des familles. Derrière ces jeunes, il y a très souvent des parents en grande difficulté à cause de la pauvreté ou du chômage. Des parents qui n’arrivent pas à exercer pleinement leur autorité. En traitant ainsi les ados de certains quartiers, le risque existe de les isoler encore davantage et d’accroître les tensions. Alors, beaucoup de bruit pour rien ?
La délinquance des plus jeunes reste le fait d’une minorité. Les spécialistes de la violence chez les adolescents rappellent qu’il est dangereux de les considérer comme une armée menaçante. D’ailleurs, des voix s’élèvent pour dire qu’interdire ne sert à rien si l’on ne tente pas, en même temps, de renouer le dialogue entre les jeunes et le reste de la société. C’est justement ce que tentent de faire les associations de prévention en effectuant un travail de longue haleine ….
Arnaud Schwartz, Okapi, 1er septembre 2001
1. La mesure décrite dans le texte est appliquée
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Question 2 sur 109
2. Question
A) Lisez le texte et répondez aux questions en cochant la bonne réponse.
Un couvre-feu pour quoi faire ?
Dans plusieurs villes de France, les mineurs de moins de 13 ans n’ont plus le droit de sortir seuls tard le soir. On appelle ça le couvre-feu. Explications.
Les enfants et les adolescents de certains quartiers sont sous haute surveillance. A Orléans, Nice, Cannes et dans une dizaine d’autres communes, les maires ont pris la décision d’instaurer un couvre-feu pour les mineurs de moins de treize ans. Le but ? Interdire aux jeunes de certains quartiers de sortir entre minuit (parfois 22 heures) et 6 heures du matin s’ils ne sont pas accompagnés d’un adulte. En cas de non respect, les policiers peuvent les conduire au commissariat ou chez leurs parents, avec le risque d’une amende pour la famille. Ces dispositions, limitées dans le temps, devraient prendre fin au plus tard le 30 septembre. Les élus ont expliqué que ces mesures visent à protéger les jeunes des quartiers difficiles, livrés à eux-mêmes pendant les vacances scolaires et parfois poussés, par les plus grands, à commettre des délits *.(…) La nouvelle a fait grand bruit : cette affaire de couvre-feu cache en fait une angoisse plus profonde. Depuis quelques années, on enregistre une augmentation de la violence chez les jeunes. Les maires ont ainsi voulu montrer qu’ils les avaient à l’œil*. Et qu’ils prenaient en considération les peurs de leurs électeurs…
Sur le fond, tout le monde est d’accord. En effet, il n’est pas normal qu’un enfant ou un ado de moins de treize ans erre* en pleine nuit dans les rues. Le débat porte plutôt sur l’utilité d’une telle mesure. Les policiers font remarquer qu’ils n’ont pas attendu ces décisions pour se préoccuper des enfants qu’ils croisaient tard dans la nuit. Ils ont déjà l’obligation de les ramener chez eux. Par ailleurs, des éducateurs expliquent que ce n’est pas en poursuivant ces enfants que l’on réglera les problèmes des familles. Derrière ces jeunes, il y a très souvent des parents en grande difficulté à cause de la pauvreté ou du chômage. Des parents qui n’arrivent pas à exercer pleinement leur autorité. En traitant ainsi les ados de certains quartiers, le risque existe de les isoler encore davantage et d’accroître les tensions. Alors, beaucoup de bruit pour rien ?
La délinquance des plus jeunes reste le fait d’une minorité. Les spécialistes de la violence chez les adolescents rappellent qu’il est dangereux de les considérer comme une armée menaçante. D’ailleurs, des voix s’élèvent pour dire qu’interdire ne sert à rien si l’on ne tente pas, en même temps, de renouer le dialogue entre les jeunes et le reste de la société. C’est justement ce que tentent de faire les associations de prévention en effectuant un travail de longue haleine ….
Arnaud Schwartz, Okapi, 1er septembre 2001
2. Qui n’a plus le droit de sortir après le couvre-feu ?
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Question 3 sur 109
3. Question
A) Lisez le texte et répondez aux questions en cochant la bonne réponse.
Un couvre-feu pour quoi faire ?
Dans plusieurs villes de France, les mineurs de moins de 13 ans n’ont plus le droit de sortir seuls tard le soir. On appelle ça le couvre-feu. Explications.
Les enfants et les adolescents de certains quartiers sont sous haute surveillance. A Orléans, Nice, Cannes et dans une dizaine d’autres communes, les maires ont pris la décision d’instaurer un couvre-feu pour les mineurs de moins de treize ans. Le but ? Interdire aux jeunes de certains quartiers de sortir entre minuit (parfois 22 heures) et 6 heures du matin s’ils ne sont pas accompagnés d’un adulte. En cas de non respect, les policiers peuvent les conduire au commissariat ou chez leurs parents, avec le risque d’une amende pour la famille. Ces dispositions, limitées dans le temps, devraient prendre fin au plus tard le 30 septembre. Les élus ont expliqué que ces mesures visent à protéger les jeunes des quartiers difficiles, livrés à eux-mêmes pendant les vacances scolaires et parfois poussés, par les plus grands, à commettre des délits *.(…) La nouvelle a fait grand bruit : cette affaire de couvre-feu cache en fait une angoisse plus profonde. Depuis quelques années, on enregistre une augmentation de la violence chez les jeunes. Les maires ont ainsi voulu montrer qu’ils les avaient à l’œil*. Et qu’ils prenaient en considération les peurs de leurs électeurs…
Sur le fond, tout le monde est d’accord. En effet, il n’est pas normal qu’un enfant ou un ado de moins de treize ans erre* en pleine nuit dans les rues. Le débat porte plutôt sur l’utilité d’une telle mesure. Les policiers font remarquer qu’ils n’ont pas attendu ces décisions pour se préoccuper des enfants qu’ils croisaient tard dans la nuit. Ils ont déjà l’obligation de les ramener chez eux. Par ailleurs, des éducateurs expliquent que ce n’est pas en poursuivant ces enfants que l’on réglera les problèmes des familles. Derrière ces jeunes, il y a très souvent des parents en grande difficulté à cause de la pauvreté ou du chômage. Des parents qui n’arrivent pas à exercer pleinement leur autorité. En traitant ainsi les ados de certains quartiers, le risque existe de les isoler encore davantage et d’accroître les tensions. Alors, beaucoup de bruit pour rien ?
La délinquance des plus jeunes reste le fait d’une minorité. Les spécialistes de la violence chez les adolescents rappellent qu’il est dangereux de les considérer comme une armée menaçante. D’ailleurs, des voix s’élèvent pour dire qu’interdire ne sert à rien si l’on ne tente pas, en même temps, de renouer le dialogue entre les jeunes et le reste de la société. C’est justement ce que tentent de faire les associations de prévention en effectuant un travail de longue haleine ….
Arnaud Schwartz, Okapi, 1er septembre 2001
3. Le couvre-feu commence
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Question 4 sur 109
4. Question
A) Lisez le texte et répondez aux questions en cochant la bonne réponse.
Un couvre-feu pour quoi faire ?
Dans plusieurs villes de France, les mineurs de moins de 13 ans n’ont plus le droit de sortir seuls tard le soir. On appelle ça le couvre-feu. Explications.
Les enfants et les adolescents de certains quartiers sont sous haute surveillance. A Orléans, Nice, Cannes et dans une dizaine d’autres communes, les maires ont pris la décision d’instaurer un couvre-feu pour les mineurs de moins de treize ans. Le but ? Interdire aux jeunes de certains quartiers de sortir entre minuit (parfois 22 heures) et 6 heures du matin s’ils ne sont pas accompagnés d’un adulte. En cas de non respect, les policiers peuvent les conduire au commissariat ou chez leurs parents, avec le risque d’une amende pour la famille. Ces dispositions, limitées dans le temps, devraient prendre fin au plus tard le 30 septembre. Les élus ont expliqué que ces mesures visent à protéger les jeunes des quartiers difficiles, livrés à eux-mêmes pendant les vacances scolaires et parfois poussés, par les plus grands, à commettre des délits *.(…) La nouvelle a fait grand bruit : cette affaire de couvre-feu cache en fait une angoisse plus profonde. Depuis quelques années, on enregistre une augmentation de la violence chez les jeunes. Les maires ont ainsi voulu montrer qu’ils les avaient à l’œil*. Et qu’ils prenaient en considération les peurs de leurs électeurs…
Sur le fond, tout le monde est d’accord. En effet, il n’est pas normal qu’un enfant ou un ado de moins de treize ans erre* en pleine nuit dans les rues. Le débat porte plutôt sur l’utilité d’une telle mesure. Les policiers font remarquer qu’ils n’ont pas attendu ces décisions pour se préoccuper des enfants qu’ils croisaient tard dans la nuit. Ils ont déjà l’obligation de les ramener chez eux. Par ailleurs, des éducateurs expliquent que ce n’est pas en poursuivant ces enfants que l’on réglera les problèmes des familles. Derrière ces jeunes, il y a très souvent des parents en grande difficulté à cause de la pauvreté ou du chômage. Des parents qui n’arrivent pas à exercer pleinement leur autorité. En traitant ainsi les ados de certains quartiers, le risque existe de les isoler encore davantage et d’accroître les tensions. Alors, beaucoup de bruit pour rien ?
La délinquance des plus jeunes reste le fait d’une minorité. Les spécialistes de la violence chez les adolescents rappellent qu’il est dangereux de les considérer comme une armée menaçante. D’ailleurs, des voix s’élèvent pour dire qu’interdire ne sert à rien si l’on ne tente pas, en même temps, de renouer le dialogue entre les jeunes et le reste de la société. C’est justement ce que tentent de faire les associations de prévention en effectuant un travail de longue haleine ….
Arnaud Schwartz, Okapi, 1er septembre 2001
- 4. A quelle heure se termine-t-il ? (6 heures du matin, six heures du matin, 6h00 du matin, 6h00, 6 heures, 6, six)
-
Question 5 sur 109
5. Question
B) Vrai ou faux ?
1. Beaucoup de gens pensent qu’il faut laisser les jeunes libres de se promener la nuit.
-
Question 6 sur 109
6. Question
B) Vrai ou faux ?
2. Pour les policiers, le couvre-feu ne change pas grand-chose.
-
Question 7 sur 109
7. Question
B) Vrai ou faux ?
3. Pour les éducateurs, le problème n’est pas dans la rue, mais dans les relations entre parents et enfants.
-
Question 8 sur 109
8. Question
B) Vrai ou faux ?
4. Quelle est la conclusion de ce texte ?
-
Question 9 sur 109
9. Question
C) Ecrire au passé composé
- 1. Vendre : J' (ai vendu, Ai vendu)
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Question 10 sur 109
10. Question
C) Ecrire au passé composé
- 2. Accomplir : Tu (as accompli, As accompli)
-
Question 11 sur 109
11. Question
C) Ecrire au passé composé
- 3. Construire : Il (a construit, A construit)
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Question 12 sur 109
12. Question
C) Ecrire au passé composé
- 4. Admettre : Nous (avons admis, Avons admis)
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Question 13 sur 109
13. Question
C) Ecrire au passé composé
- 5. Tomber :Vous (êtes tombés, Êtes tombés, êtes tombées, Êtes tombées)
-
Question 14 sur 109
14. Question
C) Ecrire au passé composé
- 6. Conduire : Ils (ont conduit, Ont conduit, ils sont conduits, Ils sont conduits)
-
Question 15 sur 109
15. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
1. J’ai pris … route.
-
Question 16 sur 109
16. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
2. Il fait quelque chose … soir ?
-
Question 17 sur 109
17. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
3. Elles ont été contentes d’apprendre … nouvelle.
-
Question 18 sur 109
18. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
4. Ils ont découvert … régions.
-
Question 19 sur 109
19. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
5. … plan indique tous les arrêts d’autobus en ville.
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Question 20 sur 109
20. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
6. Il s’est opposé à … homme avec virulence..
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Question 21 sur 109
21. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
7. Elle a écrit … lettre.
-
Question 22 sur 109
22. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
8. Il s’intéresse à … film.
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Question 23 sur 109
23. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
9. Elle a produit … série.
-
Question 24 sur 109
24. Question
D) Complétez avec le déterminant démonstratif à la forme adéquate.
- CE / CET / CETTE / CES
10. Je suis fatiguée de toutes … histoires !
-
Question 25 sur 109
25. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 1. ne pas dit la il vérité (Il ne dit pas la vérité.)
-
Question 26 sur 109
26. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 2. n' pas elle oranges les aime (Elle n'aime pas les oranges.)
-
Question 27 sur 109
27. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 3. ne pas la télévision regardes tu (Tu ne regardes pas la télévision.)
-
Question 28 sur 109
28. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 4. ne pas français comprend il le (Il ne comprend pas le français.)
-
Question 29 sur 109
29. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 5. n' pas catastrophe est ce une (Ce n'est pas une catastrophe.)
-
Question 30 sur 109
30. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 6. n' pas voiture de ils ont (Ils n'ont pas de voiture.)
-
Question 31 sur 109
31. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 7. n' pas de il a chance (Il n'a pas de chance.)
-
Question 32 sur 109
32. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 8. ne pas ski de fait il (Il ne fait pas de ski.)
-
Question 33 sur 109
33. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 9. ne pas de elle manteau porte (Elle ne porte pas de manteau.)
-
Question 34 sur 109
34. Question
E) Reformez les phrases dans le bon ordre. N’oubliez pas la majuscule et le point final.
- 10. ne pas glace veut de il (Il ne veut pas de glace.)
-
Question 35 sur 109
35. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
1. … dit la vérité. (masculin)
-
Question 36 sur 109
36. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
2. … vas à la plage.
-
Question 37 sur 109
37. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
3. … sortent d’une voiture grise. (masculin)
-
Question 38 sur 109
38. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
4. … bois du café ?
-
Question 39 sur 109
39. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
5. … comprends tout !
-
Question 40 sur 109
40. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
6. … comprend le français. (féminin)
-
Question 41 sur 109
41. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
7. … prend le bus n°7. (impersonnel)
-
Question 42 sur 109
42. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
8. … fait quelque chose ce soir. (masculin)
-
Question 43 sur 109
43. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
9 … faisons du sport.
-
Question 44 sur 109
44. Question
F) Choisissez le sujet adéquat :
10. … faites quelque chose de bien.
-
Question 45 sur 109
45. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 1. J'aid (e) ma mamie à traverser la rue.
-
Question 46 sur 109
46. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 2. Michel me donn (e) son vélo.
-
Question 47 sur 109
47. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 3. Nous arriv (ons) à la gare.
-
Question 48 sur 109
48. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 4. Les enfants demand (ent) des bonbons.
-
Question 49 sur 109
49. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 5. Vous dans (ez) de mieux en mieux.
-
Question 50 sur 109
50. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 6. Nous chant (ons) le refrain tous en choeur.
-
Question 51 sur 109
51. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 7. Tu habit (es) dans quelle maison ?
-
Question 52 sur 109
52. Question
G) Mettez la bonne terminaison au présent.
- 8. Elsa aim (e) la couleur rose.
-
Question 53 sur 109
53. Question
H) Mettez au féminin.
- 1. Il est fatigué. Elle est (fatiguée, fatiguée.)
-
Question 54 sur 109
54. Question
H) Mettez au féminin.
- 2. Il est heureux. Elle est (heureuse, heureuse.)
-
Question 55 sur 109
55. Question
H) Mettez au féminin.
- 3. Il est négatif. Elle est (négative, négative.)
-
Question 56 sur 109
56. Question
H) Mettez au féminin.
- 4. Il est optimiste. Elle est (optimiste, optimiste.)
-
Question 57 sur 109
57. Question
H) Mettez au féminin.
- 5. Il est satisfait. Elle est (satisfaite, satisfaite.)
-
Question 58 sur 109
58. Question
H) Mettez au féminin.
- 6. Il est idiot. Elle est (idiote, idiote.)
-
Question 59 sur 109
59. Question
H) Mettez au féminin.
- 7. Il est agressif. Elle est (agressive, agressive.)
-
Question 60 sur 109
60. Question
H) Mettez au féminin.
- 8. Il est supérieur. Elle est (supérieure, supérieure.)
-
Question 61 sur 109
61. Question
H) Mettez au féminin.
- 9. Il est triste. Elle est (triste, triste.)
-
Question 62 sur 109
62. Question
H) Mettez au féminin.
- 10. Il est malicieux. Elle est (malicieuse, malicieuse.)
-
Question 63 sur 109
63. Question
I) Mettez au pluriel. Respectez la ponctuation !
- 1. C'est un journal très intéressant. (Ce sont des journaux très intéressants.)
-
Question 64 sur 109
64. Question
I) Mettez au pluriel. Respectez la ponctuation !
- 2. Ma collègue de bureau est une personne sympathique. (Mes collègues de bureau sont des personnes sympathiques.)
-
Question 65 sur 109
65. Question
I) Mettez au pluriel. Respectez la ponctuation !
- 3. Mangez ce gâteau, il est excellent. (Mangez ces gâteaux, ils sont excellents.)
-
Question 66 sur 109
66. Question
I) Mettez au pluriel. Respectez la ponctuation !
- 4. Ce fonctionnaire travaille dans une organisation internationale. (Ces fonctionnaires travaillent dans des organisations internationales.)
-
Question 67 sur 109
67. Question
I) Mettez au pluriel. Respectez la ponctuation !
- 5. C'est un problème général qui concerne tout le pays. (Ce sont des problèmes généraux qui concernent tous les pays.)
-
Question 68 sur 109
68. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 1. Il (a) fait chaud cet été.
-
Question 69 sur 109
69. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 2. Il (a) eu beaucoup de difficultés (à) faire cet exercice.
-
Question 70 sur 109
70. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 3. J'en ai parlé (à) mon oncle.
-
Question 71 sur 109
71. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 4. Il (a) une voiture (à) me prêter.
-
Question 72 sur 109
72. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 5. Je vais (à) Nancy.
-
Question 73 sur 109
73. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 6. Elle (a) un avion (à) prendre (à) huit heures.
-
Question 74 sur 109
74. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 7. Elle (a) encore beaucoup d'achats (à) faire.
-
Question 75 sur 109
75. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 8. Elle (a) décidé de partir.
-
Question 76 sur 109
76. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 9. Il (a) peur d'avoir affaire (à) un inspecteur.
-
Question 77 sur 109
77. Question
J) Complétez les phrases suivantes avec « a » ou « à » :
- 10. Il n' (a) pas l'air aimable.
-
Question 78 sur 109
78. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 1. (On) est prié de ne pas fumer !
-
Question 79 sur 109
79. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 2. Elles (Ont) eu très peur.
-
Question 80 sur 109
80. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 3. Le cambrioleur ne pensait pas qu' (on) le retrouverait.
-
Question 81 sur 109
81. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 4. Pourrait- (on) s'arrêter ?
-
Question 82 sur 109
82. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 5. Lorsqu' (on) leur a proposé un dessert, ils (ont) refusé.
-
Question 83 sur 109
83. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 6. (On) est tous contents !
-
Question 84 sur 109
84. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 7. (On n')est pas ravis d'être là, mais (on n')avait pas le choix.
-
Question 85 sur 109
85. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 8. (On) a tous rêvé un jour d'être une star.
-
Question 86 sur 109
86. Question
K) Complétez les phrases avec « on », « ont » ou « on n’ « . N’oubliez pas les majuscules en début de phrase.
- 9. Est-il coupable ? (On n')en sait rien !
-
Question 87 sur 109
87. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 1. (C'est) en forgeant qu'on devient forgeron.
-
Question 88 sur 109
88. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 2. (Ces) cris annoncent l'arrivée de l'actrice et de (ses) admirateurs.
-
Question 89 sur 109
89. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 3. (C'est) un pompier qui (s'est) porté au secours de la fillette.
-
Question 90 sur 109
90. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 4. (Ces) vendeurs flattent le client et s'efforcent de répondre à toutes (ses) questions.
-
Question 91 sur 109
91. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 5. (C'est) vraiment extraordinaire : l'avion (s'est) posé sans avoir sorti son train d'atterrissage.
-
Question 92 sur 109
92. Question
L) Complétez les phrases suivantes avec « s’est », « c’est », « ses » ou « ces ». Attention aux majuscules en début de phrase !
- 6. (C'est) à Marseille que ce gardien de but (s'est) fait connaître du public.
-
Question 93 sur 109
93. Question
M) Complétez les phrases suivantes par « son » ou « sont ».
- 1. Christophe a acheté (son) sac à dos dans un magasin de sport.
-
Question 94 sur 109
94. Question
M) Complétez les phrases suivantes par « son » ou « sont ».
- 2. Les croissants (sont) meilleurs quand ils (sont) chauds.
-
Question 95 sur 109
95. Question
M) Complétez les phrases suivantes par « son » ou « sont ».
- 3. Ils (sont) partis faire de l'escalade dans la forêt.
-
Question 96 sur 109
96. Question
M) Complétez les phrases suivantes par « son » ou « sont ».
- 4. Quand (son) réveil sonne, il ne l'entend pas.
-
Question 97 sur 109
97. Question
M) Complétez les phrases suivantes par « son » ou « sont ».
- 5. Sophie a pris (son) manteau et (son) sac et, avec Marc, ils (sont) allés se balader.
-
Question 98 sur 109
98. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 1. Si tu viens (ce) soir, ton frère (se) fera un plaisir de te voir.
-
Question 99 sur 109
99. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 2. Il est vraiment très agréable de (se) promener sur la plage.
-
Question 100 sur 109
100. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 3. J'aime (ce) type de jeux vidéo, mon frère préfère (ceux)-là.
-
Question 101 sur 109
101. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 4. ils (se) sont rencontrés à (ce) dîner.
-
Question 102 sur 109
102. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 5. Depuis quelques temps, (se) tableau que je vois tous les jours dans (ce) magasin me fascine.
-
Question 103 sur 109
103. Question
N) Complétez les phrases suivantes par « se », « ce » ou « ceux » :
- 6. Que (ceux) qui sont d'accord lèvent la main !
-
Question 104 sur 109
104. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 1. Le menuisier fabrique des portes, des fenêtres, des buffets (et) des tables; il (est) le dernier artisan du village.
-
Question 105 sur 109
105. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 2. La rue principale du vieux quartier (est) étroite (et) tortueuse.
-
Question 106 sur 109
106. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 3. Le fleuve (est) en crue, il roule des eaux rapides (et) boueuses.
-
Question 107 sur 109
107. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 4. La répétition du gala de danse (est) terminée, il (est) temps de quitter la salle de sport (et) de rentrer à la maison.
-
Question 108 sur 109
108. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 5. La parole (est) d'argent, (et) le silence (est) d'or.
-
Question 109 sur 109
109. Question
O) Complétez les phrases suivantes par « et » ou « est » :
- 6. Il (est) difficile de faire rouler un ballon de rugby car il (est) ovale.
Test de français Niveau B2
Résumé-Quiz
0 questions correctes sur 37
Questions:
- 1
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- 5
- 6
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
- 12
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- 14
- 15
- 16
- 17
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- 19
- 20
- 21
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- 23
- 24
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- 26
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- 28
- 29
- 30
- 31
- 32
- 33
- 34
- 35
- 36
- 37
Information
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- 26
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- 29
- 30
- 31
- 32
- 33
- 34
- 35
- 36
- 37
- Répondu
- Examiner
-
Question 1 sur 37
1. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
1. L’idée principale du 1er paragraphe est que :
-
Question 2 sur 37
2. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
2. Le 2ème paragraphe signifie :
-
Question 3 sur 37
3. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
3. Dans ce même paragraphe, l’auteur estime que l’ouverture des routes :
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Question 4 sur 37
4. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
4. Dans le 3ème paragraphe, la plupart des exploitations…
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Question 5 sur 37
5. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
5. Dans le 4ème paragraphe, l’auteur du texte estime que le déboisement abusif dans certains pays africains :
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Question 6 sur 37
6. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
6. D’après vous, l’auteur de l’article :
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Question 7 sur 37
7. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtemps considérée comme inépuisable. Simultanément, des forestiers se convertissent à l’aménagement afin de procéder à une exploitation sylvicole rationnelle. Reste à faire de ces principes une règle pour tous. Sinon le poumon de la terre continuera inexorablement à disparaître. Au rythme d’une vingtaine de terrains de football par minute.
Jeune Afrique, mai 2000
7. Expliquez le choix du titre « Compte à rebours ».
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Question 8 sur 37
8. Question
A) Répondez aux questions après avoir lu le texte ci-dessous :
Le compte à rebours
Conservation ou exploitation ? Le débat n’est pas nouveau. Il commence même déjà à dater. Les éternels affrontements entre ceux qui militent pour la protection inconditionnelle de sanctuaires naturels et ceux qui défendent les intérêts économiques des compagnies forestières semblent même passés de mode. Une voie médiane commence à s’imposer entre deux points de vue jugés longtemps inconciliables. Mais au rythme auquel les forêts tropicales se dégradent, il devient urgent de traduire sur le terrain une politique propre à pérenniser les ressources forestières.
Sur le continent africain, qui recèle un cinquième des forêts tropicales du monde, il est délicat d’établir un palmarès des risques que connaissent les zones exposées. La prolifération de la culture sur brûlis a largement dégradé la forêt ivoirienne alors que le Gabon a plus à craindre de l’ouverture de son couvert forestier à l’exploitation industrielle du bois. La construction de routes et d’infrastructures dans les forêts entraîne le plus souvent un afflux de population incontrôlable, ce qui ne fait qu’accroître le déboisement.
Mais ce n’est pas là le seul effet secondaire. La chasse est également liée à l’exploitation forestière, le commerce du gibier offrant des possibilités lucratives. Un ouvrier forestier peut doubler son salaire en braconnant un chimpanzé, et le percement des routes permet d’écouler les produits de la chasse vers les grandes villes où un marché florissant se développe.
L’exploitation est la plupart du temps confiée à des sociétés privées européennes ou asiatiques. En règle générale, l’exploitation sélective qui en résulte n’entraîne pas de déboisement massif. Et une forêt bien aménagée pourra ultérieurement fournir une nouvelle récolte de bois. Cependant dans certains cas, les exploitants veulent rentabiliser leur concession au maximum et dans des délais beaucoup trop courts d’un point de vue écologique. Reprochant aux autorités administratives l’absence de politique forestière à long terme, ils profitent de la durée de leurs permis pour exploiter sans discernement tout ce qui peut se vendre afin d’accroître leurs marges bénéficiaires.
D’autre part, les pays détenant une partie de la forêt tropicale en font une source de revenus optimale à court terme. Pour ces Etats qui croulent sous le poids d’une dette extérieure souvent insoutenable, les revenus sylvicoles en devises constituent une part importante de leur budget et de leur produit intérieur brut. Créatrice d’emplois, la filière permet aussi de rééquilibrer une balance commerciale souvent désavantageuse, tout en diversifiant les activités locales. Reste que la bonne gouvernance apparaît comme un facteur capital pour l’avenir de la forêt. Dans certains pays, la prise de décision est aux mains d’un petit groupe de personnes ou de clans au sein du gouvernement qui considèrent les forêts primaires comme une source de revenus personnel à court terme, ce qui entraîne la conclusion de contrats rapportant principalement des bénéfices à l’investisseur et à certains fonctionnaires. La corruption se ressent à différents niveaux : les salaires sont si bas que les employés sont tentés d’accepter des pots-de-vin pour approuver des plans d’exploitation qu’ils n’ont jamais vus.
Face à cette pression du marché doublée d’une absence de contrôle rationnel, la forêt est-elle condamnée ? Pas forcément, mais il ne s’agit pas de sous-estimer la menace. Plusieurs pays ont commencé à appliquer les principes d’une gestion intelligente, d’une ressource longtem